connexion / inscription ... 2019 fev. 21,0 le 31: 26,1 le 19: Ainsi, les précipitations ont été globalement déficitaires de la frontière belge à la Normandie et à l'ouest de l'Auvergne ainsi que plus localement sur les Pyrénées-Atlantiques, de l'Ariège à l'Hérault, sur le nord des Alpes et l'est de la Corse. Ce déficit associé aux fortes températures a ainsi contribué à un assèchement important des sols superficiels. Le déficit, supérieur à 20 % du nord de l'Aquitaine aux frontières du Nord et du Nord-Est, a souvent dépassé 30 % sur un vaste quart nord-ouest du pays. Le cumul annuel de précipitations a été plus conforme à la normale sur le reste du pays, hormis de la Lorraine au nord de l'Auvergne ainsi qu'en Languedoc-Roussillon où le déficit a souvent atteint 10 à 30 %, voire localement plus sur le Gard et l'Hérault. Les températures sont restées supérieures aux normales la majeure partie du mois. maxi extrême: 12,6 le 13: 22,6 le 27 !! A tel point que novembre 2019 se place au 4e rang des plus humides depuis 1959 avec un cumul mensuel moyen national de 166mm. La sécheresse est désormais officiellement terminée sur le pays. L'ensoleillement a été généreux sur un grand quart nord-ouest du pays ainsi que le long des frontières du Nord et sur le sud-est de la Corse avec un excédent souvent supérieur à 10 %. Sur le mois et sur le pays, la température moyenne de 20,1 °C a été supérieure à la normale de 1,8 °C, classant juin 2019 au 5e rang des mois de juin les plus chauds, toutefois loin derrière juin 2003 (+4,1 °C). Les gelées ont été très rares tant en plaine qu'en altitude. Des perturbations actives et parfois tempétueuses se sont succédé sur une grande partie du pays, épargnant toutefois le Sud-Est. Le soleil a brillé autant à Dinard (Ille-et-Vilaine) avec 240 heures qu'à Nice (Alpes-Maritimes) avec 237 heures. En moyenne sur le mois et sur le pays, la pluviométrie a été déficitaire de 20 %. En Rhône-Alpes et sur l'est de l'Auvergne, les précipitations ont été plus conformes à la saison mais l'excédent a localement dépassé 20 %. De la Nouvelle-Aquitaine aux Hauts-de-France, les cumuls mensuels ont souvent atteint une fois et demie la normale, voire localement plus de deux fois notamment sur la Bretagne. En Corse, la pluviométrie a atteint une fois et demie à localement trois fois la normale sur la majeure partie de l'île. Elles seront également utilisées sous réserve des options souscrites, à des fins de ciblage publicitaire. Déficitaire jusqu'à fin septembre, elle a atteint le dernier trimestre un excédent proche de 60 % avec des pluies très abondantes sur le sud du pays. Sur le sud du Centre-Val de … Ce déficit pluviométrique associé à des températures estivales très élevées a provoqué un assèchement remarquable des sols superficiels, du Grand-Est au Massif central ainsi que sur le pourtour méditerranéen en fin d'été et début d'automne. En revanche, du 7 au 21, les températures ont été froides, en moyenne 1 à ponctuellement 4 °C en dessous des valeurs de saison avec de fréquentes gelées sur le Nord-Est. Critère de classement Année de classement Hauteur des précipitations (en mm) en 2019. Plusieurs épisodes méditerranéens intenses ont généré des pluies diluviennes sur le Sud-Est et la Corse, en octobre et en novembre. Seule la Corse a présenté un net déficit, de plus de 50 % en Corse-du-Sud. On a ainsi enregistré 223 heures de soleil à Caen (Calvados) mais 211 heures à Nice (Alpes-Maritimes) et seulement 144 heures à Tarbes (Hautes-Pyrénées). L'excédent a atteint une fois et demie à deux fois et demie la normale sur un vaste quart nord-ouest, le sud du Massif central et la Corse, deux à trois fois et demie sur le Sud-Ouest ainsi que de la moyenne vallée du Rhône à l'est du Gard et à la région PACA. 11 avril 2019 - Précipitations. Les passages perturbés ont été fréquents du Sud-Ouest aux Ardennes ainsi que près des frontières de l'Est et sur la Corse. En moyenne sur le mois et sur le pays, la pluviométrie a été déficitaire de 40 %. L'année 2018 avait déjà été marquée par une sécheresse sévère à l'automne. 568 mètres). Depuis le début de l'automne, on a retrouvé un temps fréquemment perturbé sur la France. En revanche, à la faveur de l'ensoleillement exceptionnel, la France a connu un pic de douceur hivernale historique en seconde partie de mois. En revanche, du Nord-Est au Limousin ainsi que du Languedoc à la région PACA, le déficit pluviométrique, généralement supérieur à 30 %, a localement dépassé 60 %. Sur le mois et sur le pays, la température moyenne de 13,9 °C a été inférieure à la normale de 1,1 °C. Infoclimat, la météo en France en temps réel - Weather in realtime Europe, Canada. Bulletin de situation hydrologique de juillet 2019. En moyenne sur le mois et sur le pays, la température maximale a dépassé la normale de 4,1 °C plaçant ce mois de février au second rang derrière février 1990 (+4,8 °C). À Rouen (Seine-Maritime), il a atteint 70 % avec seulement 18 heures d'ensoleillement. En fin d'année, ces intempéries à répétition ont été responsables de débordements et crues de plusieurs cours d'eau. 2019 mai 2019 juin 2019 juil. Le déficit qui a atteint 50 % sur la région PACA a dépassé 70 % sur les Alpes-Maritimes et 90 % sur le Var et la Corse. L'excédent a dépassé 20 % des Hauts-de-France au Centre-Val de Loire et à la Franche-Comté, voire 30 % le long des frontières du Nord et du Nord-Est. Le nombre de jours de gel est partout inférieur à la normale. Le 3 novembre, la première tempête hivernale Amélie a principalement frappé un large quart sud-ouest de la France, avec 7 % de la surface nationale impactée par des vents supérieurs à 100 km/h. La pluviométrie a dépassé deux à trois fois la normale sur le Sud-Ouest, la région Provence-Alpes-Côte d'Azur et sur la Corse-du-Sud. maxi extrême: 14,7 le … De l'Alsace et de la Lorraine au pourtour méditerranéen, les maximales ont été généralement 2 à 3 °C au-dessus des valeurs saisonnières. Sur ces deux mois, l'excédent a été supérieur à 60 %. La température moyenne sur le mois, proche de la normale sur la façade ouest du pays, a été 2 à 4 °C au-dessus sur la moitié est de l'Hexagone et en Corse. Les 17 et 19, les maximales ont été par endroits plus de 10 °C au-dessus des valeurs de saison de Rhône-Alpes et de l'Allier à la Lorraine. En moyenne sur le mois et sur le pays, la pluviométrie a été excédentaire de près de 90 %. La pluviométrie a été très contrastée. Il a même atteint 50 % à Solenzara (Haute-Corse) avec 283 heures de soleil. Si les minimales ont été relativement douces pour la saison sur le Nord-Ouest, les maximales ont été généralement assez froides sur un grand quart sud-ouest, souvent 2 à 4 °C en dessous des valeurs de saison sur l'Auvergne, le Limousin, Midi-Pyrénées et le sud de l'Aquitaine. Sur la moitié nord en revanche où les nuages ont dominé, les minimales ont été le plus souvent supérieures aux normales. La tempête Amélie a soufflé violemment le 2 sur le Nord-Ouest, puis le 3 sur le littoral atlantique et la moitié sud du pays. Les températures minimales sont restées douces, en moyenne supérieures à la normale de 2 °C. Lors de la tempête Fabien, le 21, on a relevé 141 km/h à Bordeaux (Gironde) et le 22 les vents ont dépassé 120 km/h sur 50 % de la surface de la Corse, avec 205 km/h à Cagnano et 170 km/h à Bastia (Haute-Corse). L'ensoleillement a été déficitaire sur la majeure partie du pays. Le soleil a brillé généreusement sur le nord-ouest de l'Hexagone et l'est de la Corse. Suite à un dernier trimestre 2019 très pluvieux, la façade ouest de l'Hexagone, la région Provence-Alpes-Côte d'Azur et la Corse ont été bien arrosées avec un excédent de 10 à 40 %, voire localement plus sur la Côte d'Azur. Les perturbations ont été peu fréquentes. En moyenne sur le mois et sur le pays, la pluviométrie a été excédentaire de près de 50 %. Sur le mois et sur le pays, la température moyenne de 11,7 °C a été supérieure à la normale de 0,6 °C. 2019 mars 2019 avr. 2019 mai 2019 juin 2019 juil. Seuls le piémont pyrénéen, un petit quart sud-est et la Corse ont bénéficié d'un ensoleillement proche de la normale. Il a été excédentaire de 10 à 30 % en Corse et près de la frontière belge. Sur les régions méridionales, les pluies ont été peu fréquentes et peu abondantes, voire quasi absentes sur le pourtour méditerranéen et le sud de la Corse. Les régions méditerranéennes ont été peu arrosées, hormis lors d'un épisode pluvio-orageux localement intense sur le Languedoc-Roussillon et la Corse le 21. En revanche, l'ensoleillement a été plus conforme à la saison sur la côte atlantique et le Sud-Ouest où les nuages ont été très présents en décembre et janvier. maxi extrême: 11,9 le 13: 20,4 le 27: 21,5 le 31: 27,2 le 20: Proches des valeurs de saison sur les régions bordant la Manche ainsi que près des Pyrénées, elles ont été en moyenne souvent plus de 1 °C au-dessus du nord de la Nouvelle-Aquitaine à la Bourgogne - Franche-Comté ainsi que sur le nord des Alpes, le long du couloir rhodanien et en Corse. Hauteur des précipitations (en mm) en 2019. En moyenne sur la France et sur le mois, le déficit pluviométrique a atteint 40 %. Au cours de l'année hydrologique 2018-2019, le cumul de précipitations a été déficitaire de près de 20 % en moyenne sur la France. L'excédent a souvent été compris entre 20 et 50 %. Un épisode de neige remarquable et précoce a concerné le centre-est du pays les 14 et 15 donnant jusqu'à 25 cm en plaine. De septembre à décembre, les régions méridionales ont été frappées par de violents épisodes méditerranéens accompagnés de pluies intenses qui ont généré des crues et des inondations localement dévastatrices, notamment dans l'Hérault, le Var, les Alpes-Maritimes et la Corse. 2019 août 2019 sept. 2019 oct. 2019 nov. 2019 dec. 2019 Année complète; Tempé. Suivi; 3. De la Lorraine et de la Champagne-Ardenne au Centre-Val de Loire où le déficit a souvent dépassé 80 %, juillet 2019 se classe parmi les mois de juillet les plus secs sur la période 1959-2019, voire le plus sec pour la Meuse, la Meurthe-et-Moselle et le Loir-et-Cher. Il a été quasi omniprésent sur une grande moitié sud et le flanc est après le 20. Publié le 02/05/2019 . Le 27 juin a été la journée la plus chaude enregistrée pour un mois de juin avec une température moyenne sur la France de 27,9 °C. En moyenne sur la saison et sur la France, la température de 14,1 °C a été supérieure à la normale de 1 °C, plaçant l'automne 2019 au 6e rang des automnes les plus chauds depuis 1900, loin derrière 2006 (+2,4 °C). En mai, dans l'air froid dominant, plusieurs épisodes de neige tardive se sont produits en altitude sur les massifs jusqu'en toute fin de mois. Sur le nord de la France, le mercure a dépassé 40 °C souvent pour la première fois depuis le début des mesures, voire localement 43 °C le 25. Déficitaires du Poitou-Charentes à l'ouest du Massif central ainsi que de l'Hérault à la Drôme, les cumuls de précipitations ont souvent été excédentaires au sud de la Garonne et sur les régions méditerranéennes. La pluviométrie y a été déficitaire de plus de 30 %, notamment sur le quart nord-ouest. Cet épisode a été particulièrement précoce dans la saison. Les passages pluvieux ont été fréquents avec des précipitations abondantes notamment sur le Sud-Ouest les 12 et 13, sur les Cévennes du 17 au 19 ainsi que sur la région PACA avec deux épisodes méditerranéens intenses les 1er et 20, provoquant des inondations. Observations de la quantité de pluie tombée en 24h en France en temps réel Après un mois de septembre sec et ensoleillé, de nombreuses perturbations très actives se sont succédé sur la France depuis début octobre s'accompagnant de pluies très abondantes sur l'ouest du pays, notamment sur le sud de l'Aquitaine . La température moyenne de 6,7 °C sur la France et sur la saison a été supérieure à la normale de 1,3 °C. Cartes pluviométriques Recherche par départements et régions. En décembre, les tempêtes Daniel (16 au 17), Elsa (19 au 20) puis Fabien (21 au 23) ont balayé environ 10 % du territoire avec des rafales dépassant 100 km/h. Tableau détaillant les températures, les précipitations, le vent, l'ensoleillement ainsi que la pression Été météorologique : Juin - Juillet - Août L'été 2019 au 3 e rang des étés les plus chaud. Ce mois d'octobre se classe parmi les 10 mois d'octobre les plus chauds depuis 1900, derrière octobre 2013 (+1,9 °C) et loin d'octobre 2006 (+2,6 °C) et d'octobre 2001 (+2,8 °C). Hormis en début et toute fin de mois, les températures ont souvent affiché en moyenne 2 à parfois 7 °C de plus que la normale. Infoclimat, la météo en France en temps réel - Weather in realtime Europe, Canada connexion / inscription ... 2019 fev. Les températures, souvent inférieures aux normales durant la première quinzaine, ont été en moyenne 4 à 8 °C au-dessus, du 25 au 30 durant une vague de chaleur précoce d'une intensité exceptionnelle. Bilan global de l'année hydrologique (septembre 2018 à août 2019) Au cours de cette année hydrologique 2018-2019, le cumul de précipitations a été déficitaire de près de 20 % en moyenne sur la France. De nombreux records absolus ont été battus sur l'ensemble du pays. La pluviométrie a été déficitaire de 20 à 60 % de la Seine-Maritime au Nord - Pas-de-Calais, sur la Champagne, en Lorraine et du Pays basque au sud du Poitou. Le déficit souvent compris entre 40 et 70 % au sud de la Garonne, a dépassé 80 %, du Roussillon à la Côte d'Azur et sur la majeure partie de l'île de Beauté. Découvrez la page 2 du classement 2019 des départements les plus pluvieux de France. Du 18 au 23, les maximales ont été plus de 4 °C au-dessus de la normale sur la moitié nord de l'Hexagone. METEO FRANCE - Retrouvez des informations sur le climat en France par Météo-France : températures, ensoleillement et pluviométrie des derniers jours aux 10 dernières années Les hauteurs maximales de neige relevées durant l'épisode ont atteint 10 à 15 cm en plaine et à basse altitude avec 11 cm sur l'aérodrome de Saint-Étienne (Loire), 15 cm sur l'aéroport de Lyon (Rhône), voire localement plus avec 21 cm sur l'aéroport de Grenoble-Saint-Geoirs (Isère) ou 32 cm au col de Rossatières (Isère - Alt. En revanche, suite aux précipitations abondantes en tout début de mois, la pluviométrie a été excédentaire en moyenne vallée du Rhône, dans les Hauts-de-France ainsi que sur les Alpes-Maritimes et l'ouest de la Corse. Les températures sont restées le plus souvent inférieures aux normales. Sur l'ensemble du mois et sur la France, la température moyenne de 21,8 °C a été supérieure à la normale de 1,2 °C, classant août 2019 parmi les 10 mois d'août les plus chauds depuis 1900, loin derrière août 2003 (+4,2 °C). Les passages perturbés, moins fréquents qu'à l'ordinaire sur le nord-ouest de l'Hexagone, ont été quasi absents sur les régions méditerranéennes avec moins de 20 jours de pluie sur l'ensemble de la saison. Ce mois de novembre se classe au 3e rang des mois de novembre les plus pluvieux depuis 1959, derrière novembre 1996 et 2000. À l'inverse, sur le sud de la Bretagne et de Midi-Pyrénées, ainsi que sur le Haut-Rhin, les cumuls de pluie ont atteint une à localement deux fois la normale. L'ensoleillement a été excédentaire sur l'ensemble du pays. Les prévisions de Météo-France Réunion, réalisées tous les jours depuis le centre du Chaudron à Saint-Denis, vous permettront de trouver la ville où les conditions météos seront les meilleures pour vos visites, vos randonnées ou tout simplement pour un peu de farniente sur une des belles plages de l'île Bourbon (ancien nom de l'ile). Vous bénéficiez d'un droit d'accès et de rectification de vos données personnelles, ainsi que celui d'en demander l'effacement dans les limites prévues par la loi. Le déficit a même dépassé 60 % sur le Dijonnais, du Pays de Caux à l'intérieur du Pas-de-Calais, dans le centre de l'Auvergne ainsi que de la moyenne vallée du Rhône à la Provence. Suite à un net refroidissement, un épisode neigeux précoce a concerné le Centre-Est mi-novembre. En moyenne, vers 7h il a fait NAN°C et . Les conditions anticycloniques ne se sont jamais installées plus de trois jours consécutifs. Ces archives Météo sont totalement libres d'accès et gratuites. Les conditions anticycloniques ont été plus fréquentes sur la moitié nord du pays, notamment sur le Nord-Ouest où le temps a été globalement plus doux, plus ensoleillé et plus sec que la normale. L'ensoleillement a été conforme à la saison sur le Nord-Ouest, un petit quart sud-est, en Corse et sur le piémont pyrénéen. La pluviométrie, contrastée régionalement, a été, en moyenne sur le territoire, conforme à la normale. Parc Astérix en Île-de-France en juin 2019. En moyenne sur le mois et sur le pays, le bonus d'ensoleillement a été proche de 50 %, positionnant ce mois de février sur le podium des plus ensoleillés avec février 1975. Sur le reste du pays, il a été globalement déficitaire en décembre et janvier, mais exceptionnel en février avec un excédent supérieur à 40 % et de nombreux records battus, notamment sur la moitié nord. L'ensoleillement a été excédentaire de plus de 20 % excepté près des Pyrénées, sur le Sud-Est et la Corse où il a été plus conforme à la saison. Malgré quelques périodes très fraîches notamment en janvier, la France n'a pas connu de réel pic de froid durant cet hiver. ... la ville de France où les précipitations sont les plus élevées ne se situe pas en Bretagne. La France : Historique Météo. Des records de cumuls de pluie ont été battus tous mois confondus avec notamment 246,4 mm à Lanvéoc (Finistère - ouvert en 1948), 284,3 mm à Ajaccio (Corse-du-Sud - ouvert en 1949), 531,5 mm à Cambo-les-Bains (Pyrénées-Atlantiques - ouvert en 1964) et 534 mm à Saint-Martin-de-Hinx (Landes - ouvert en 1984). Et les chiffres de la pluviométrie fournis par Météo France sont là pour le confirmer. En revanche, de l'Occitanie au Grand-Est les pluies ont été déficitaires de 20 à 40 %. La température moyenne annuelle de 13,7 °C a dépassé la normale* de 1,1 °C, plaçant l'année 2019 au 3e rang des années les plus chaudes depuis le début du XXe siècle, derrière 2018 (+1,4°C) et 2014 (+1,2 °C). Sur ces régions, l'excédent a souvent dépassé 20 %. Toutefois, sur le mois, le nombre de jours de gel reste inférieur à la normale. Tous les mois, décembre 2018 excepté, ont connu des cumuls de pluie inférieurs à la normale. Le déficit a souvent dépassé 30 % du Centre-Val de Loire à l'Auvergne et en Corse et 50 % sur le sud du Massif central et le pourtour méditerranéen. Les informations recueillies sont destinées à CCM Benchmark Group pour vous assurer l'envoi de votre newsletter. Les 13 et 14, la France a connu un pic de douceur avec en moyenne 5 à 6 °C de plus que la normale. Sur le mois et sur le pays, la température moyenne de 10,1 °C a été supérieure à la normale de 1,4 °C. Puis les températures ont été souvent fraîches pour la saison, hormis un épisode quasi estival courant avril. Les températures ont été nettement inférieures à la normale du 3 au 5 puis les 13 et 14 sur la majeure partie du pays avec de nombreuses gelées au petit matin. Les pics de crue ont eu lieu à partir du 13 décembre sur le Gave de Pau, le Gave d'Oloron, l'Adour et la Nive dans les Pyrénées-Atlantiques ainsi que sur la Garonne dans le Lot-et-Garonne et sur la Charente. Douceur et fraîcheur ont alterné tout au long du mois. Les cumuls de pluie ont été plus conformes à la saison sur un petit quart nord-est du pays. Ainsi, en Corse, le mois de juillet 2019 se classe au 1er rang des mois de juillet les plus arrosés sur la période 1959-2019. Malgré quelques épisodes de fraîcheur assez marquée, la douceur a dominé durant cet automne. Un déficit globalement compris entre 10 et 20% sur ces régions, localement jusqu'à 30% entre Alsace, Lorraine et Franche-Comté. La sécheresse des sols superficiels déjà présente du Nord-Est au Massif central s'est étendue au sud de la France. En effet si la quantité moyenne annuelle de pluie y est partout voisine de 800 mm, la répartition saisonnière de ces pluies y est cependant tout à fait différente : En tout début de mois, il a neigé sur les massifs et jusqu'en plaine sur le flanc est les 3 et 4. A l'inverse, la pluviométrie s'est montrée déficitaire dans l'Est et surtout le Nord-Est de la France. L'ensoleillement a été très contrasté. 1. Le mois de mai, globalement très frais, s'est achevé avec des températures estivales le 31. Le Gers n’a pas été épargné par les changements de temps durant les deux derniers mois de l’année 2019. En moyenne sur le mois et sur le pays, la pluviométrie a été déficitaire de plus de 30 %. 2019 mars 2019 avr. Il a dépassé 20 % du sud de l'Alsace au Centre-Val de Loire et à l'Auvergne ainsi que sur les Pyrénées-Atlantiques. Les passages pluvieux ont été fréquents, notamment sur Rhône-Alpes et surtout sur un vaste quart nord-est avec plus d'un jour de pluie sur deux. Le soleil a été généreux sur la majeure partie du pays. L'excédent a été le plus souvent supérieur à 10 % du Sud-Ouest aux frontières du Nord et de l'Est ainsi qu'en Corse. La pluviométrie a été très contrastée. Le climat restait identique vers midi avec une réduction des températures à NAN°C en juin 2019. Les cumuls de pluie ont dépassé la normale sur la quasi-totalité du pays à l'exception du Haut-Rhin, du nord de la Corse et du nord du Languedoc. Des records mensuels de faible ensoleillement ont été battus avec seulement 50 heures à Biarritz (Pyrénées-Atlantiques), 87 heures à Ajaccio (Corse-du-Sud) et 109 heures à Nice (Alpes-Maritimes). Les précipitations ont souvent atteint une fois et demie à deux fois la normale du Cotentin au Pays basque et ont localement dépassé deux fois la normale sur la région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Les températures moyennes, proches des normales sur la façade ouest, ont été 1 à 3 °C au-dessus des normales sur le reste du pays. 2019 mai 2019 juin 2019 juil. Les chiffres suivants proviennent des données météorologiques nationales en libre accès, fournies par Météo France, pour le département de la Creuse (pour l'année 2018).Ces données représentent une moyenne pour le département, elles peuvent varier sensiblement selon les reliefs (différence nord-sud pour la Creuse, par exemple). En moyenne sur la saison et sur la France, la température de 21,7 °C a été supérieure à la normale de 1,7 °C, plaçant 2019 au 3e rang des étés les plus chauds, derrière 2003 (+3,2 °C) et 2018 (+2,0 °C). La crue de la Charente a perduré jusqu'en fin d'année. Le cumul de pluie a été plus conforme à la saison, voire localement excédentaire sur l'ouest des Hauts-de-France, le Cotentin, de la pointe bretonne aux Charentes, des Pyrénées-Orientales à la Montagne Noire ainsi que sur le littoral provençal, la Côte d'Azur et ponctuellement sur l'est de l'île de Beauté. L'ensoleillement a été conforme à la normale sur la façade ouest de l'Hexagone, localement déficitaire, notamment sur le nord de la Bretagne. Ponctuellement, l'ensoleillement a dépassé la normale de plus de 60 % en Touraine et Lorraine. 2019 s'est caractérisée par un soleil généreux et la prédominance de la douceur tout au long de l'année avec deux vagues de chaleur d'une intensité exceptionnelle durant l'été. En seconde partie de mois, plusieurs épisodes méditerranéens ont affecté les régions méridionales dont un particulièrement intense du 19 au 24 avec des pluies diluviennes sur le Languedoc-Roussillon les 22 et 23 (lien vers actu du 25 octobre). Le 15 juillet 2019, la Corse a été touchée par de violents orages et des pluies localement diluviennes. maxi extrême: 13,1 le 31: 25,7 le 27: 22,6 le 23: 24,6 le 19: 28,3 le 31: La majeure partie du pays a bénéficié d'un ciel tout bleu souvent pendant plus de 10 jours. En revanche, le soleil a largement brillé sur les régions méditerranéennes avec un excédent atteignant 20 à 40 %, de l'Hérault au sud des Alpes et à la Côte d'Azur ainsi qu'en Corse et jusqu'à 50 % à Solenzara (Haute-Corse) avec 190 heures. Sur l'ensemble du mois et sur la France, la température moyenne de 8,8 °C a été supérieure à la normale de 0,3 °C. Ces pluies abondantes ont généré d'importantes inondations en Aquitaine les 16 et 17 et en région PACA les 22 et 23. Le déficit a dépassé 20 % en Corse, du sud de Rhône-Alpes à la région PACA, de la Sarthe et de l'Orléanais à la région rouennaise, sur le Bas-Rhin, le nord du Finistère et sur le Sud-Ouest ainsi que plus localement du Dijonnais à la Franche-Comté. Durant l'épisode caniculaire d'une intensité exceptionnelle qui a concerné la France du 21 au 26, elles ont été 4 à 8 °C au-dessus des valeurs saisonnières avec des maximales supérieures aux normales de plus de 10 °C du 23 au 25. De la Haute-Loire au Rhône, on a souvent recueilli sous les orages une fois et demie à deux fois la normale, ponctuellement deux à trois fois. Durant ce mois de novembre, le temps a été très perturbé. En moyenne sur le mois et sur le pays, le déficit a été proche de 20 %. Ainsi, l'été 2019 s'est classé au 3e rang des plus chauds derrière 2003 et 2018. maxi extrême: 12,7 le … L'ensoleillement a été proche de la normale sur le Sud-Ouest, du Languedoc-Roussillon aux Alpes ainsi que sur le nord du littoral atlantique. Les quantités de pluie relevées ont été abondantes voire exceptionnelles en Aquitaine et en Corse. Durant les mois de novembre et décembre, la France a été balayée par une succession de tempêtes et de passages perturbés, souvent accompagnés de précipitations abondantes. Les pluies ont été quasi absentes sur le Sud-Est où le déficit a dépassé 50 %. De nombreux records absolus tous mois confondus ont été battus avec souvent plus de 40 °C sur le Sud-Est en juin et sur le nord du pays en juillet.