Parce que dieu n’exist pas , ils l’ont cree, ils sont les dieux. 14 - Livre Quatorze : PROLETAIRES SANS FRONTIERES, 16- EDITORIAUX DE LA VOIX DES TRAVAILLEURS, 21, مواد والثورة : من هذه المسألة ، في الحياة ، والرجل والمجتمع, Quand l’église catholique brûlait le père Noël paien, Croisade contre les instances et ouvrages islamiques, Il serait temps de laïciser la langue française, Les matérialistes français du XVIIIe siècle : Diderot, La Mettrie, Helvétius, D’Holbach, d’Alembert, Maupertuis, Emilie du Châtelet, Léon Trotsky sur la question juive et le sionisme, La religion - ses racines sociales et son rôle. Au 31 décembre dernier, les comptes affichaient un patrimoine net de 695 millions d’euros contre 720 millions fin 2013. comme le règlement du contentieux opposant la famille Feltrinelli au Vatican. Ce n’est plus le Elle dirige l’expansion de la métropole vers la périphérie : sur ce qui furent les ’bénéfices’ concédés aux familles de la noblesse ’noire’, et qui depuis 1870 sont devenus les propriétés privées de ces mêmes familles, elle constitue des consortiums, projette des cotisations achète 10 ce qu’elle revend 1.000, et fait pousser des cités dortoirs (aujourd’hui encore dépourvues de tout service). Sur le sable ne bâtit que celui qui bâtit sur les choses visibles, tangibles, sur le succès, sur la carrière, sur l’argent. L’accord, étant donné qu’il est ’régi par la loi italienne’, pourrait aussi sonner le glas des privilèges du Vatican en matière financière, l’empêchant de jouer sur le conflit de compétence entre droit italien et droit canon. La peu glorieuse initiative sonnait le glas de la participation majoritaire du Saint-Siège dans l’organisme financier. Le scandale du Banco Ambrosiano réunit, comme en résumé, tous les démons de l’Italie d’après-guerre. On y apprend que l'IOR a quadruplé son bénéfice net en 2012. Enfin, le Denier de Saint-Pierre (dons effectués ’Andreotti peut avoir raison. Le nouveau système rendra l’Eglise plus libre face à l’Etat. Nous devons donc changer notre concept de réalisme. entier jusqu’en 1929. Craignait-il pour sa vie, ou plutôt la disparition d’un témoin gênant le mettait il à l’abri de nouvelles surprises ? Car fascisme et Eglise avaient en commun l’éternel ennemi (la ’subversion rouge’), l’idéologie (ordre et discipline, hiérarchie et main de fer pour ’moraliser la nation’) et la doctrine sociale de corporatisme). reste fut placé. Le bilan du sinistre financier n’est établi avec certitude que beaucoup plus tard. du Pape, « à des interventions caritatives La politique économique du Vatican trouve son origine dans les changements socio-politiques du début de notre siècle : le pape venait juste de perdre les 1.300 km2 de ses territoires qui divisaient la péninsule italienne d’Est en Ouest, empêchant matériellement son unification (laquelle n’était intervenue, pour la première fois depuis le Moyen-Age, qu’en l’année 1870). Il est par exemple Tout ça pour un bénéfice de 86n6 millions d’euros, selon les chiffres 2012. Même si Marcinkus, plus tard, le niera, il est certain que les deux vivent une ’lune de miel’ émaillée de quelques faits saillants (des ’preuves de fidélité’ ?) Sans compter que les nécessités de l’autofinancenient induirent de la part du clergé un discours beaucoup plus persuasif, un appel constant à la responsabilité des fidèles, et donc une plus grande rigidité dans leur encadrement. C’était le temps de Léon XIII qui réforma et centralisa l’administration économique du Vatican et créa une caisse secrète qui allait, plus tard, devenir le IOR. D’autre part, la gestion en propre élève à nouveau l’Eglise au rang d’entité économique indépendante, ce que la législation de 1870 voulait éviter. Ils ont appris à se retirer à temps. victimes de conflits armés ou du sida ». La même année, ils disparaissait discrètement de la liste des gentils hommes de la Sainteté, à propos de laquelle il n’existe néanmoins aucun règlement relatif à la radiation de la justice italienne : bien que toujours poursuivi par son mandat de capture, il ’conseillait’ par voie de presse à ses juges de lui attribuer l’honneur des arrêts au domicile, et faisait mettre sous séquestre rien moins que quatre livres parlant de ses relations avec la P2 et le Vatican retenus par lui diffamatoires. Un inévitable cercle vicieux, tandis que le Denier continue à être présenté comme l’unique ressource du pape, laquelle s’élevait, en 1978, à 4 ou 5 millions de dollars (ces chiffres sont certainement manipulés : nous avons déjà vu, en parlant du bilan du Vatican, qu’ils ne font que couvrir dollar par dollar les déficits annoncés et les comptes demeurent ainsi toujours miraculeusement en équilibre). Giulio Andreotti alors premier ministre, intervient plusieurs fois en la faveur du banqueroutier victime, selon lui, d’un ’complot’. Avec celui-ci, il comprit vite que le pape avait besoin d’un instrument financier exclusif et efficace, capable de fournir au Saint-Siège la liquidité dont l’Eglise universelle avait un urgent besoin. La Banque du Vatican tente désespérément de s’opposer à une plainte en justice déposée par des survivants serbes et juifs de la Shoah devant la cour fédérale de San Fancisco ( Affaire "Alperin contre la banque du Vatican") et visant à obliger à rendre compte de fonds spoliés lors de la Deuxième Guerre Mondiale. Banco Ambrosiano (une des banques les plus En manipulant le découpage des provinces ecclésiastiques, des diocèses et des paroisses, la Conférence épiscopale italienne est parvenue à multiplier le nombre des prêtres dans le besoin. Il faut l’étudier à partir de 3 postes Dans son réquisitoire de 1.800 pages, rédigé au terme de huit ans d’enquête, le procureur de Milan explique même que l’industriel italien avait multiplié les démarches pour faire la lumière sur les comptes de la banque. Le plan de Sindona portait-sur 156 millions de dollars. Ce qui suit est un extrait du chapitre 26 du livre " Les milliards du Vatican " écrit par Avro Manhattan. A Palerme, il est protégé - ou surveillé ? Enquête sur la face cachée des richesse du Vatican. Le Vatican essaie de se débarrasser de son image de place financière peu recommandable depuis la faillite frauduleuse de la banque italienne Banco Ambrosiano, dont l'IOR était actionnaire, il y a plus de trente ans. Les immeubles possédés par le Saint-Siège valent 2,7 milliards d’euros, raconte Fittipaldi, mais sont déclarés pour sept fois moins. Elle a été acquise par Franco Caltagirone membre d’une famille active depuis plus d’un demi-siècle dans le bâtiment, fort liée à Andreotti, et rendue célèbre en 1981 par une banqueroute frauduleuse qui poussa deux des cousins de Franco à l’exil. La Conférence épiscopale italienne fixera dès lors le traitement des religieux. Les ’aventures’ de Michele Sindona illustrent bien la connivence existant entre les milieux financiers catholiques, le pouvoir politique, et le Vatican. Et il s’écroule sur lui-même s’il n’est pas en permanence réalimenté par de l’argent frais - que Sindona se procure par l’intermédiaire de ses contacts politiques (démocrates-chrétiens avant tout) et ses amitiés vaticanes. Calvi s’était engagé à assumer la faillite de Sindona, mais en est mort. achats de terrains autour du Vatican. Partagé entre le pouvoir occulte et ses amitiés vaticanes, il devient le coordinateur, le recruteur et l’éminence grise de la P2. Avec ses 81 millions de dollars de dette, elle était consignée à ses créditeurs : la Banco di Roma la Banco di Santo Spirito la Nuovo Banco Ambrosiano la San Paolmo etc. Et puis Philippe de Weck, dont la banque UBS a pour conseiller un certain Sanchez Bella, a auparavant été en affaires avec Sindona et Pesenti et est membre d’une commission d’experts désignée par le pape pour réformer le règlement du IOR.Enfin, pour les transferts de fonds, intervient l’Ultrafin une société financière du groupe Calvi, et la Banco Occidental de Madrid, proche du IOR et de l’Opus Dei. Pour renforcer son château de cartes, il joue sur la confiance dont il bénéficie dans les milieux financiers et multiplie les comptes en banque aux Bahamas et au Luxembourg, les double de mandats fiduciaires réservés, et y fait apparaître et disparaître les capitaux qui lui servent dans ses opérations croisées. Cet article présente un aperçu de léconomie du Vatican, l'État du Vatican fournissant annuellement son bilan financier qui est distinct de celui du Saint-Siège : 245 millions d'euros de recettes contre 235 de dépenses en 2010 pour le Vatican, 255 millions d'euros de recettes contre 234 de dépenses en 2010 pour le Saint-Siège1. Le Nord du pays commençait à s’industrialiser. Ce qui ne signifie certes pas que le Vatican abandonnait la place nanciere : aujourd’hui encore, tous les dirigeants de la Banco di Roma sont étroitement liés à la Démocratie Chrétienne et servent, à quelque distance, les intérêts du pape. Aussi toutes ces choses, qui semblent être la véritable réalité sur laquelle compter, ne sont qu’une réalité de deuxième ordre. Une perte qui n’était qu’en partie compensée par les ressources du Denier de Saint-Pierre, alors que la nouvelle bourgeoisie accédant au pouvoir se montrait indifférente sinon hostile à l’Eglise. ». Et Andreotti d’insister, à propos des méfaits de Calvi, Sindona et Ortolani ’Les cardinaux, disait-il, ne sont pas extralucides : ils ne peuvent prévoir si tel ou tel financier se révélera être un escroc.’ Chiffres en main, la malhonnêteté des autres est un risque qu’ils sont en effet en mesure de se permettre... Giulio Andreotti est encore, dit-on, un fervent souteneur des réunions de la droite européenne tenues par Antoine Pinay. Sous prétexte de l’engagement de la banque vaticane, l’IOR, que les revenus financiers des instituts ayant déposé des fonds à la banque du Vatican seront déclarés et imposés, l’accord prévoit que ses biens immobiliers, importants à travers la Péninsule, resteront non taxés. Quant aux frais de justice (15 millions de dollars), personne ne sait encore qui les supportera. Etrange comportement du IOR qui s’est toujours déclaré étranger aux accusations de complicité qui lui étaient lancées mais comportement prévoyant, si l’on considère qu’il permet d’éviter un procès international où De Strobel Marcinkus et Mennini auraient bien plus difficile qu’en Italie de se prévaloir de l’immunité diplomatique ; alors qu’il s’agissait aussi de présenter le bon profil à la veille de la signature du ’nouveau’ concordat et de restaurer la crédibilité du IOR en tant que banque d’envergure mondiale. Mais reste que les dettes contractées directement ou indirectement par le IOR demeurent en bonne partie impayées. La captivité des Hébreux en Egypte et leur fuite, une légende biblique sans fondement historique ? Libye: Banque centrale de Libye (Leur plus récente conquête après avoir liquidé Kadhafi) ... La Couronne britannique a fait don de la société au Vatican, qui a donné les droits d’exploitation à la Couronne. Le juge Guidi Viola a écrit : ’L’appui au plan de sauvetage (proposé par Sindona) une véritable escroquerie à charge de la Banca d’Italia et de la communauté nationale, était fourni par de hautes personnalités politiques, en premier lieu par le premier ministre de l’époque, Giulio Andreotti.’ Andreotti, comme nous le savons, est démocrate-chrétien. Soutenu par maître Violet, Villegas fait accepter par Alfredo Sanchez Bella, un pur du franquisme, alors ministre en Espagne et membre de l’Opus Dei, deux projets de recherche d’eau potable qui, après expérimentation en 1970, se résumeront en un fiasco. GABRIEL BOUYS / AFP. Transferts de fonds, Moyens de paiement, Comptes offshore, ouvrir un compte en banque au Saint-Siège (Vatican), Compte Courant Saint-Siège (Vatican). du Saint-Siège est donc à peu près égal La Societa Generale immobiliare devenue Immobiliare-Sogene, fut rachetée en 1974 à Sindonia par Arcangelo Belli, l’un des survivants des spéculateurs immobiliers liés au Vatican. Une autre histoire de pouvoir : celle de Michèle Sindona . Et les legs exécutés ’en échange du paradis’, qui doivent pourtant être concordés de fois en fois avec le gouvernement italien (ce qui donne une dimension de l’importance, pour le Vatican, de la collusion avec les politiciens). Une indulgence coupable qui explique l’empressement des banques nationalisée à monter un tour de table pour reprendre la banque en faillite. Ortolani prêtera aussi son généreux concours à Michele Sindona lors de l’affaire de la Generale Immobiliare et fréquentera Giovanni Leone, l’unique président de la République italienne obligé de démissionner pour avoir été mêlé à un scandale politicoo-financier celui de la Lockheed. El, actuellement, les organisations catholiques s’emploient de manière insistante à multiplier le nombre de ’patronages’ à leur dépendance. En théorie, seuls les prélats, prêtres, religieux ou laïcs salariés du Vatican peuvent en être client. Ces ouvrages contiennent donc des photocopies de documents réservés qui mettent en évidence "le manque de transparence, de clarté et de propreté" dans l’Eglise (des qualités qui avaient pourtant été exigées par François lorsque la Commission fut constituée en Juillet 2013, et qui, n’ayant pas été respectées, ont conduit à la suppression pure et simple de la Cosea). Ou atil été assassiné comme le laissent penser les derniers éléments d’enquête remontant à 1989 ? Un accord a été signé, mercredi 1er avril, entre l’État italien et le Saint-Siège. Témoin d’une tradition séculaire, de Denier fut remis à l’honneur après 1870 et connaît actuellement une tendance notable à la baisse : les intérêts conservateurs du Saint Siège et sa participation dans des opérations économiques peu ’chrétiennes’ ont largement contribué à lui faire perdre de sa crédibilité. Dont celles de Luigi Mennini (gentihomme de Sa Sainteté et administrateur-délégué du IOR sept ans de détention) et de Massimo Spada (pour son rôle de représentant du Vatican dans bon nombre de sociétés de Sindona, cinq ans de détention). La tendance est à l’élimination de certains titres (pharmacie, armement, cinéma) jugés ’indécents’, de la participation dans les sociétés immobilières, et à la concentration sur les ’utilités’ (produits chimiques, assurances, banques, etc). La leçon est écoutée. Pourtant, si le problème existe, il n’est pas de savoir si le Vatican agit ou non comme n’importe quelle entreprise en quête de profits mais bien que, malgré les nombreuses révélations et mises en accusation, il continue obstinément de prétendre ne pas le faire. Le financier est condamné une première fois en Italie à trois ans de réclusion pour violation des règlements bancaires. Accédez gratuitement à toutes les données de salaires au Vatican. ’La vérité, a dit un juge chargé de l’instruction, est que l’establishment politico-financier n’avait aucun intérêt à ce que se tienne ce débat.’ Après neuf mois d’audience, la Cour a rendu ses conclusions, prononçant vingt-deux condamnations pour un total de 122 ans de prison. Ou, comme le disait Sanchez Bella : ’Le monde se fait grâce à ces trois ou quatre mille individus qui forment l’élite intellectuelle internationale, mais qui ne parlent pas toujours de politique. L’argent placé semble avoir été longtemps « sagement géré ». Chaque fois, il a su trouver les justes arguments et les justes alliances pour être blanchi de tout soupçon. Il avait favorisé les investissements de la Banco di Roma dans cette région alors partie de l’empire ottoman et où les Italiens, sous la bannière d’une ’pénétration pacifique’, s’occupaient avant tout de prospection minière. En patrimoine immobilier, rien qu’en Italie, le Vatican c’est : Le musée du Vatican qui détient 70 000 œuvres pour une valeur estimée de 90 milliards d’euros et des recettes annuelles sur les ventes de billets de 91,3 millions d’euros. Mais le pape François a déclaré la guerre au "crottin du Diable". estimées de la péninsule) fit perdre 241 millions Prêtant son concours à divers groupes de pression (en particulier, la bourgeoisie des entrepreneurs) il a développé dans les institutions économiques et politiques de sa ville un pouvoir de fait et une clientèle solide. Au départ Marcinkus qui n’y connaissait pas grand-chose en économie, se montre avide des conseils dispensés par le ’génie’ Sindona. d’euros. Paul Marcinkus après de longues tergiversations, acceptait ’en reconnaissance de son implication morale’ (la sienne et celle du IOR de s’associer pour un montant de 250 millions de dollars à la réparation offerte par le Banco Ambrosiano, la banque de Calvi, à ses principaux créditeurs. Et ce sur la foi d’expertises qui lui sont, comme par hasard, toujours favorables. Ca doit être la volonté divine. Techniquement, la création d’une filiale italienne du IOR résoudrait le problème en soumettant le IOR à la loi italienne. de son État en en publiant le budget. Ce qui lui permettra, plus tard, de contrôler le prix du pain à Rome. Un jungle, disions-nous, où un terrain peut appartenir à une communauté et la construction qui y est posée à un autre. La réalité, en fait, est que peut-être Sindona se sera servi des relents d’indépendantisme encore présents parmi les conservateurs Le musée du Vatican qui détient 70 000 œuvres pour une valeur estimée de 90 milliards d’euros et des recettes annuelles sur les ventes de billets … Il liquidait ses actions et Ernesto Pacelli était contraint de se retirer. Le siège de l'IOR est un écrin de pierre à l'intérieur des murs du Vatican. En ce qui concerne l’implication de certains écclésiastîques dans l’affaire, nous remarquerons que la persistance , mais aussi la dégénérescence - d’une hiérarchie Religieuse encore et toujours de type féodal que les termes du ’nouveau’ concordat confirme, offre de notables espaces de manoeuvre à qui, religieux ou non, sait s’approprier ce système de la soumission. Il finira pendu à Londres en 1982. Les fidèles se montrent moins généreux, ce qui pousse le Vatican dans d’autres opérations encore moins claires, etc. Il intronise sujet politique tout qui (comme Sindona) a acquis une parcelle de pouvoir objectif disponible à s’associer à la sienne. Cet instrument sera le IOR à la direction duquel Marcinkus parvint sans encombre. Il s’occupe encore de terrorisme néo-fasciste (et l’on ne peut ici éviter de signaler la ’coïncidence’ entre l’évasion de Licio Gelli de la prison de Lausanne, en août 1983, et l’attentat manqué au rapide Milan-Palerme, à quelques kilomètres de l’endroit où advint la tragédie de l’Italicus - ces deux derniers faits ayant été revendiqués, à neuf ans d’interval, par Ordine Nero une formation d’extrême-droite dont se servaient Gelli et Ortolani). Dieu doit avoir honte de ses ouailles qui en son nom créent des guerres et les entretiennent. Il y aurait d’ailleurs dans cette banque encore un compte au nom du pape Luciani, dont le pontificat dura seulement 33 jours en 1978 sous le nom de Jean-Paul 1er…. par les diocèses) atteint 43 millions d’euros, pontifical, le Saint-Siège, perdit ses revenus l’église catholique d’Allemagne reconnaît détenir 3,35 milliards. En ce début de l’été 1982, une rumeur se répand comme une traînée de poudre à Milan. Les alliances politiques ne sont certes pas oubliées : les connaissances d’Ortolani, outre Giulio Andreotti, ont nom Joseph Strauss de leader catholique bavarois qui fut reçu par Paul VI, en tant que symbole de la nouvelle alliance de la droite avec l’Eglise contre la gauche) et Stroessner, le général dictateur du Paraguay. Une banque à propos de laquelle Marcinkus se lamentait : ’On parle souvent de nos pertes, jamais de nos gains’ - et pour cause puisque ces gains, et simplement le capital réel de l’Institut sont un des secrets les mieux gardés du Vatican, et que ne parvient au public que l’écho de quelques unes de ses opérations manquées ou franchement malhonnêtes. L’Etat italien a été accusé de ne pas avoir exercé efficacement son rôle de surveillance et de tutelle sur la plus grande banque privée de la Péninsule.